On pense rarement à se poser la question :
Qu’est-ce qui me rend vivant ? Qu’est-ce qui me fait vraiment du bien ?
Eh bien dans cet épisode, nous allons le faire, et voir comment arroser cette vie en nous.
Fabrice Midal (vidéo d’environ 2 min)
Thérapies ACT Comportementales et Cognitives (TCC) – Sophrologie
Pascal GAUTIER, Psychologue, Sophrologue RNCP-FEPS, près de Dinan (22) et à distance
On pense rarement à se poser la question :
Qu’est-ce qui me rend vivant ? Qu’est-ce qui me fait vraiment du bien ?
Eh bien dans cet épisode, nous allons le faire, et voir comment arroser cette vie en nous.
Fabrice Midal (vidéo d’environ 2 min)
Il arrive parfois qu’on se blesse gravement, et qu’on ait besoin d’un garrot pour ne pas perdre trop de sang. Mais si on laisse un garrot posé pendant trop longtemps, le membre se nécrose. C’est aussi vrai dans la théorie du bourgeon…
Quels sont les garrots dont vous voudriez vous défaire ?
Fabrice Midal (vidéo de 2 min)
Avez-vous déjà remarqué, lorsqu’un enfant tombe sans se faire trop mal, ce moment où il hésite pendant quelques secondes entre pleurer ou repartir jouer ?
C’est le point de départ de notre défi du jour… Je ne vous en dis pas plus, à tout de suite dans la vidéo !
Fabrice Midal
Pourquoi et comment l’alcool augmente-t-il les risques de cancer ?
Sein, bouche, larynx, pharynx, œsophage, foie, estomac, côlon et rectum : même à faible dose, l’alcool augmente le risque de développer 8 cancers.
Le Dr Jean-Baptiste Méric, Directeur médical et oncologue au Centre Hospitalier de Bligny (91), nous explique en moins de 5 minutes le lien entre alcool et cancers. (1)
Voir, de plus, bas de page…
50 000 morts par an en France dont 28 000 cancers
2e cause de mortalité évitable en France, après le tabac
Un seul verre d’alcool par jour (dont vin ou bière, selon dose des bars) augmente de 10% le risque d’avoir un cancer du sein
Les lobbies de l’alcool minimisent les risques de la consommation. Le coût reste toutefois largement supérieur aux bénéfices pour la société : nombre d’années de vie perdu, impacts sociaux et familiaux, baisse de productivité, absentéisme, coûts des soins…
Si 5 à 10% des cancers sont provoqués par des facteurs génétiques, il existe des facteurs protecteurs : activité physique régulière, alimentation plus équilibrée avec moins de viande, diminution ou arrêt des conduites à risque (alcool, tabac, drogue…)
La consommation fréquente d’alcool, même “à petite dose”, peut être une tentative d’apaiser une souffrance, des ruminations, douleurs, etc. L’effet à court terme est illusoire et délétère.
Un accompagnement psychothérapeutique, notamment avec des approches validées scientifiquement (thérapie d’acceptation et d’engagement, thérapies comportementales et cognitives) contribue à gagner en sérénité.
(1) Source https://www.addictologie.org/inca-alcool-et-cancer/