Évitement et anxiété

Évitement expérientiel et anxiété : un piège contre-productif… 😬

Vous fuyez ce qui vous stresse ? 🏃‍♂️💨
En général, c’est commun. L’évitement expérientiel, c’est ce réflexe de contourner ce qui génère un malaise : #émotions intenses 😣, pensées inconfortables 🤯 ou encore souvenirs douloureux… 😢

Le problème, c’est qu’en évitant, on renforce l’anxiété. Alors à court terme, on respire un peu 😮‍💨, mais à long terme, on s’essouffle. Les études sont claires :

« L’évitement émotionnel est associé à une intensification des symptômes anxieux et dépressifs » (Kashdan et al., 2006). 📚

Donc plus on évite, plus le #cerveau 🧠 interprète la situation comme étant dangereuse ⚠️.

Un cercle vicieux s’installe, où les comportements d’évitement (procrastination, distraction, etc.) entretiennent l’angoisse plutôt que de l’apaiser. 🔄

  • Et cela concerne de nombreux troubles : phobie sociale, PTSD, #TDAH, TOC… Une méta-analyse (Chawla & Ostafin, 2007) montre que l’acceptation émotionnelle diminue significativement les troubles anxieux. ✅

Accompagner les personnes à identifier leurs mécanismes d’évitement peut ouvrir la voie à une prise en charge plus efficace. C’est un levier puissant en thérapie d’acceptation et d’engagement (#ACT), très utilisé aujourd’hui en France. 🇫🇷

Texte de Fabrice Pastor,
Infographie réalisée par @Igor Thiriez

Pascal GAUTIER,
psychologue ACT,
Près de Dinan (22) et à distance

Le piège de l'évitement face à l'anxiété...

Comment Améliorer Sa Concentration : Au-delà de la Volonté

Augmenter l'attention

🧠 Comment améliorer sa concentration ? (et non, ce n’est pas qu’une question de volonté)

On a tous connu ça: ouvrir son ordi pour travailler… et se retrouver à googler les derniers potins sur le dernier film Deadpool 3 minutes plus tard.

La concentration, ce n’est pas une compétence magique, c’est un équilibre entre attention, motivation et gestion cognitive…

Des recherches en neurosciences montrent que l’attention soutenue dépend fortement de notre capacité à réduire la charge cognitive inutile et à maintenir une motivation intrinsèque suffisante (Deci & Ryan, 2000).

Et plus votre cerveau jongle entre les distractions, moins il encode l’information de façon efficace (Ophir et al., 2009).

En France, les dispositifs d’accompagnement scolaire ou professionnel sous-estiment encore trop souvent l’impact de l’environnement sensoriel et l’absence de routines structurées sur la concentration, notamment pour les personnes porteuses de TDAH.

Alors non, ce n’est pas qu’un « manque de volonté ». C’est souvent un manque de stratégie cognitive… et cette infographie en propose quelques-unes, efficaces et validées.

Infographie réalisée par Mylin, texte de Fabrice Pastor

Institut IRLES Audrey Durand Pascal Barbecanne

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